Claude 91 à l'Est de L'UE

Kikiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii sort les quarts, claude91 a trouver de quoi remonter le moral à tout le forum:lol!: ...

les barres sur comptoirs servaient AU DEPARTà se rattrpper
lorsqu'il y avait "trop de vent dans la mâture" pour les
marins qui se désaltéraient ... après , c'est sûr que suivant
"l'état de la mer" , il a fallu bricoler çà avec la ceinture ...
(les bars les mieux "pensés" avaient des crochets fixés au 
comptoir côté buveurs à hauteur de la ceinture , pour éviter 
les figures libres durant remplissage )...

mon cher Claude ,
à propos de la langue teutonne , bistrot n'est pas d'origine , 
allemande , à ma connaissance , en tout cas ,bien que dans la 
merveilleuse , concise et ô combien imagée langue de Göethe ,
une soirée "top" , se résume ainsi : trinken , krank und schhplaff ! ,
traduction (à peu près ) on boit , on étale son repas sur les murs
(krank= malade) , et on s'étale soi-même à terre (onomatopée !)
, pour voir si on à pas trop sali le carrelage....

pour ce qui est de la vodka , Claude , c'est de la torture avec 
préméditation : je n'arrive pas à attraper cette bouteille!!!

mg ! verse-moi un coup et on n'en parle plus !!!  
mon quart , c'est le seau en zinc , à ta droite , comme d'hab' !!!

Il y a, c'est sur, une histoire sur les comptoirs. Et le coup de la ceinture, je l'ai lu, il y a un certain temps et depuis, euh, j'ai oublié...

Mais, comme vous me tendez la perche, et comme vous connaissez ce brave MG42, que Dieu le bénisse  (j'ai osé, pardonnez moi), il a été prévu, je cite, pas plus de dix verres d'alcool par semaine pour les hommes, comme pour les femmes. Voilà donc les dernières recommandations d'u rapport d'expert récemment remis aux autorités sanitaires. Un rapport fort instructif sur le plan historique. On y apprend que les recommandations sur les quantités raisonnable d'alcool ne datent pas de Marisol Touraine, bien loin de là....
Elles remontent à l'antiquité et le rapport cité par le poète grec comique Eubulus, qui prenait à Dyonisos des recommandations aussi détaillées que savoureuses. "Trois verres pour les personnes sobres: un pour la santé, qu'ils finissent en premier, le second pour l'Amour et le plaisir, le troisième pour dormir. Quand ce dernier est bu, les invités sages rentrent chez eux. Après les chose se détériorent rapidement. Le quatrième bol n'est plus le nôtre mais appartient à l'orgueil, le cinquième au tumulte, le sixième à la bêtise, le septième aux yeux noirs ,le huitième fait venir la police, le neuvième provoque des vomissements et le dixième appartient à la folie et au jet de meubles"....
Au jet de meubles? Vu sous cet angle, on finit par de demander s'il serait bien raisonnable, aujourd'hui, de se risquer à boire ce dixième verre, même hebdomadaire, pourtant autorisé par la faculté. Ne serait-ce que pour préserver l'intégrité de l'armoire penderie installée dans le couloir de l'entrée. Mais point de digression chers compagnons. L'intérêt de ce rapport est surtout d'aiguiser la curiosité des lecteurs que nous sommes sur la consommation d'alcool à cette époque fort lointaine, convenons en...enfin la consommation de vin....
Car sous l'antiquité virgule il n'existait guère d'autres breuvages alcoolisés a mettre dans son verre. La bière étant en son temps un breuvage peu apprécié, et quelque peu méprisé (à l'époque, la gueuse n'était pas de mise ).
On ne buvait donc à l'époque que du vin, le plus souvent coupé avec de l'eau. Et pour certains, c'était de l'eau de mer.... Ce qui était alors, perçu comme un véritable contre poison, atténuant ses effets, voire les cantonnants dans le domaine de l'inoffensif.....
Boire, était une affaire d'hommes, lors des banquets d'après repas les femmes étaient exclues. Dans l'antiquité grecque, pourtant la consommation du vin ne leur était pas interdite. Et on ne peut exclure que, dans certaines occasions, l'ivresse pouvait être aussi féminine. Il est a noté, ainsi qu'une solide et durable tradition, entretenue par presque tous les comiques grecs, fit des femmes des biberonnes altérées. Et, il ajouta que le net et classique methusos (l'ivrognesse) n'aura, longtemps pas de forme masculine.
Quel jugement portait-on sur l'alcool et ses danger? L'eau ferrugineuse?.....
L'idée généralement admise, étaitit que l'ivresse réduisait le jugement et le sens moral, laissant le champ libre à des actes que n'aurait pas commis l'homme à jeun.... L'alcool pouvait être à l'origine d'excès ponctuels mais les conséquences médicales d'un éthylisme chronique  restaient peu évoquées....
Il est symptomatiquement, en ce sens, que lorsque saint Augustin, Saint Basile, ou Saint Césaire cherchent en vain à détourner leurs ouailles de la boisson, ils placent, dans un tableau bien sombre et répulsions, des traits ponctuels, des dommages assez brefs, plus qu'un catalogue de maladies irrémédiables, tout en gardant à l'esprit qu'un éventuel dommage génétique n'était pas perçue à l'époque.... Lorsque Platon ou Plutarque déconseillaient de concevoir en état d'ivresse, c'est à l'anormalité de cet état qu'ils pensaient, pas au délabrement  de la santé d'un alcoolique....

Pour les littéraires, je recommanderais la lecture de Charles Bukowski et de son savoureux, souvenir d'un pas grand chose. Auteur de très grande qualité, qui, quand il fut invité sur la plateau d'apostrophe vint avec son litre de pinard....
Je garde à l'esprit, comme certains grands homme, Toulouse-Lautrec, Maupasssant et bien d'autres qui buvaient de l'absinthe à bonne dose peut ouvrir l'esprit, à la condition que la dose ne soit pas excessive évidemment....

Au plaisir

je bois tes paroles...

Si notre ami MG n'a pas de Guidon , c'est vrai qu'en matière de pinard il en connait un rayon

après une telle lecture , je ne dirai qu'un mot :
prosit ! 
ps: pour l'élaboration du vin romain , je me devais 
de dire , en tant que provençal , que les romains 
ajoutaient souvent du miel (d'accord , ça , il y en a 
partout !) en plus de l'eau de mer , mais surtout 
des aromates ,des fleurs , et parfois même aussi
une pointe de lavande (surtout quand le pinard 
commençait  à dater un peu trop ! )  ...
Ducros aurait fait des affaires , s'il était venu là !
et si ce vin leur laissait un mauvais goût en bouche ,
ils se hâtaient de se laver les dents ...à l'urine !
(véridique !)

Une bonne bouteille de Jacob et Delafon pour se rincer les dents un lendemain de gueule de bois, ça remet d'aplomb et ce n'est pas la mer a boire ..... Et rien n'empêche de mettre dans cette miction quelques aromates pour les plus délicat .

... n'oublie pas le miel et les fleurs , ça adoucit ,
sinon ça fait le même effet qu'une cuillère à soupe
d'huile de piment oiseau : ça arrache la g....... 
de plus , le lendemain , banzaï !!!!!!

Petit complément d'informations pour les curieux sur l'urine et ses diverses utilisations, en particulier dentaire ...

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Aucunes contre indication n'est annotées pour les SR et leur entretien:lol!:

Quand, je vous dis que la SR mène à tout;)...